Montre de poche mécanique MOLNIJA 3602 Trinity Monastery Sergiev Posad

• Montre de poche mécanique russe avec couvercle à ressort du fabricant MOLNIJA.
• 18 rubis, remontage manuel, échappement à ancre
• Cadran: laqué blanc, aiguilles: noir, chiffres / index: noir / doré et romain, logo Molnija en cyrillique et "Made in Russia" en latin
• Boîtier en argent nickel lourd, Ø 50 mm, hauteur 4,6 mm
• Un objet de collection rare!

Sur la couverture arrière se trouve une représentation du monastère masculin orthodoxe russe dans la ville de Sergiev Posad, qui a été fondée vers 1340 par Saint-Serge de Radonezh. Le couvercle à ressort est décoré d'une croix dorée à 12 têtes.

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Une montre de poche mécanique russe rare de marque "MOLNIJA" GOST 10733-98

Une véritable pièce de collection fabriquée à partir d'anciens stocks (NOS, New Old Stock). Mouvement mécanique de qualité car il n'est plus produit dans cette gamme de prix ces jours-ci.

Année de fabrication: 2008

Les papiers originaux MOLNIJA avec un court manuel d'instructions sont en russe.

Emballage en plastique standard - original de MOLNIJA est inclus dans la livraison.

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HORLOGE:
Calibre 3602 Molnija, remontage manuel, 15 rubis, balancier spiral Breguet, balancier oscillation de l'échappement 18000, réserve de marche à remontage complet: 38+ heures

LES FONCTIONS:
Affichage de l'heure: heures / minutes / secondes

INDICATEURS | MONTRER:
Petite seconde en position 9

ENVELOPPE:
Boîtier en argent nickel lourd, Ø 50 mm, hauteur 4,6 mm

CADRAN:
Cadran: laqué blanc, aiguilles: noir, chiffres / index: noir / doré et romain, logo Molnija en cyrillique et "Made in Russia" en latin

MOLNIJA 3602

La Molnija 3602 a été produite pendant près de cinquante ans, entre 1960 et 2008.
Cela remonte à la Cortebert 616 produite en Suisse dans les années 30/40, dont les machines ont probablement été ensuite vendues en Russie.
Au fil du temps, ce travail a été modifié à plusieurs reprises, surtout la hauteur de construction a augmenté de plus d'un millimètre, et la décoration est devenue de plus en plus économique, jusqu'à ce qu'à la fin presque aucune découpe décorative ou autre décor ne soit appliquée.

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Histoire:

L'histoire complexe du monastère "Troiza Sergieva Lavra" est le résultat de nombreux changements et mesures de reconstruction au cours des siècles depuis sa fondation, résultant des incendies, de la guerre, du soutien impérial et du parrainage.

Aucun bâtiment ne peut donc être considéré comme étant dans son état d'origine.
Cependant, l'importance du monastère en tant que symbole de l'identité culturelle russe justifie l'énorme investissement en temps et en argent qui a été consacré à sa préservation et à sa restauration.

Fondé en tant que monastère dans les années 1330, l'engagement politique de son fondateur, le moine Sergius, fils de Rostov le Grand, a rapidement attiré l'attention de la famille royale.

Détruit pour la première fois par un grand incendie en 1408, le c?ur de l'installation actuelle a été reconstruit selon les plans d'origine. Dès lors, le monastère grandit en richesse et en prestige, et le premier bâtiment en pierre (cathédrale avec des chefs-d'?uvre d'artistes éminents tels que Andrei Rublev et Daniil Chernyi, 1422) fut érigé.

Au cours du XVIe siècle, en raison de son emplacement favorable, il fut converti en bastion de la défense de Moscou et servit également de refuge au tsar.

En 1744, le monastère reçut le titre de "Lavra", qui est la plus haute distinction de l'Église russe.

En 1746, le monastère fut de nouveau détruit par un grand incendie. Les derniers bâtiments, autrefois en bois, ont ensuite été reconstruits en pierre et de nouveaux éléments ont été ajoutés.

À la fin du 18e siècle, le monastère a été exproprié au cours de la sécularisation, le complexe a été nationalisé et en 1782 est devenu la ville de? Sergiev Posad? expliqué.

Au milieu du 19ème siècle, la ville connut un boom économique dû à l'amélioration des infrastructures et au flot de pèlerins qui en résulta.

Après la révolution de 1917, le monastère fut fermé, les trésors artistiques et historiques nationalisés et placés sous une commission, la réparation et la restauration des monuments confiés à une autre commission.